Une grande région du Monde (MOND501_GEOG)

Il s’agit de proposer une interprétation, ici nécessairement géographique, d’un peuplement associé à une aire culturelle. Notamment, que peut nous apprendre la « Russie » sur l’Europe ?

Les paradoxes des peuplements russes (russiens) contemporains.

- Une structure géopolitique très ambigüe
- Les villes russes confirment les ambigüités politiques
- Les espaces ruraux en recomposition problématique
- Synthèse : pourquoi observe-t-on autant d’effets inattendus de la libéralisation sur les structures et l’évolution actuelles des peuplements russes ?

Des peuplements qui reflètent partiellement une continentalité problématique

- Les contraintes de la continentalité
- Les contraintes physiques ne peuvent expliquer les paradoxes russes à elles seules
- Synthèse : clairement, la continentalité et le Nord ne sont qu’une composante des problèmes que pose l’interprétation géographique des peuplements russes. Nécessaire, elle n’est en aucun cas suffisante. Elle dépend fondamentalement des manières dont elle fut et est gérée, par les Russes et en fonction de leurs relations avec les peuples voisins. L’aspect géopolitique et historique (le poids interprétatif des héritages) de la question devient alors essentiel, comme le suggère la progression de la deuxième partie

Les peuplements russes contraints à gérer la continentalité et le Nord ?

- Des peuplements de marche euro-asiatique
- Des peuplements autocratiques, marqués par l’activité militaire

Mais, par rétroaction positive (au sens systémique !) :

- Des peuplements russes poussés à s’autolimiter ?